Chroniques
Belle et Sébastien, Nicolas Vanier – Gaumont
On se souvient de Belle et Sébastien, la série des années diffusée en 1965, ou encore du dessin animé début des années 80, tout deux adaptés du roman de Cécile Aubry. Pour la première fois les petits comme les grands pourrons découvrir le 18 décembre prochain au cinéma le film Belle et Sébastien de Nicolas Vanier.
Tourné sur trois saisons (l’été, l’automne et l’hiver) ce film est un vrai moment d’évasion grâce aux magnifiques images et des paysages donnant une impression d’infini. Quelques différences sont notables avec la version originale. Par exemple l’histoire originale se passe dans les Pyrénées (entre la France et l’Espagne) et non en Haute Maurienne Vanoise près de la frontière avec la Suisse. Cette histoire se déroule pendant la seconde Guerre Mondiale. Mais l’esprit et l’histoire sont bien là. On découvre un nouveau Sébastien joué par Félix Bossuet, tout aussi proche de sa chienne Belle que ne l’était Mehdi qui jouait alors ce rôle dès 1965. Aujourd’hui il campe le rôle d’André un bûcheron qui aidera Sébastien. A leurs côtés : Tcheky Karyo (César), Margaux Chatelier (Angelina), Dimitri Storoge (Docteur Guillaume), Andréas Pietschmann (Lieutenan Peter), Urbain Cancelier (Le Maire). Une histoire qui plaira aussi bien aux enfants, touchés par Sébastien qui vivront son aventure en voulant être à sa place, qu’aux adultes qui se replongeront dans leur souvenir.
Nous étions présents lors de l‘avant première parisienne du film au Grand Rex en présence de l’équipe du film (voir les photos). Les réactions du public lors de cette projection étaient sans équivoques, que ce soit pendant la diffusion ou après, ils étaient conquis, par les paysages de montages, de neiges, mais surtout par l’histoire et bien entendu par Belle et Sébastien.
Côté actualité, Nicolas Vanier portera à l’écran l’adaptation de son roman L’or sous la neige, retraçant l’aventure d’un jeune Américain, à la fin du XIXème siècle, qui se lance dans la ruée vers l’or du Klondike.
FanKulture
Ça se passe là-haut, dans les Alpes.
Ça se passe là où la neige est immaculée, là où les chamois coursent les marmottes, là où les sommets tutoient les nuages.
Ça se passe dans un village paisible jusqu’à l’arrivée des Allemands.
C’est la rencontre d’un enfant solitaire et d’un chien sauvage.
C’est l’histoire de Sébastien qui apprivoise Belle.
C’est l’aventure d’une amitié indéfectible.
C’est le récit extraordinaire d’un enfant débrouillard et attendrissant au coeur de la Seconde Guerre Mondiale.
C’est l’odyssée d’un petit garçon à la recherche de sa mère, d’un vieil homme à la recherche de son passé, d’un résistant à la recherche de l’amour, d’une jeune femme en quête d’aventures, d’un lieutenant allemand à la recherche du pardon.
C’est la vie de Belle et Sébastien…
Rendez-vous au cinéma dès le 18 décembre 2013 !
Découvrez la bande annonce du film
Plus d’informations sur la réalisation du film en lisant ci-dessous les propos de Nicolas Vanier.
Comment est né Belle et Sébastien ?
Contrairement à tous les projets que j’ai menés jusqu’ici, ce n’est pas moi qui suis à l’origine de Belle et Sébastien. Au départ, l’idée vient du producteur Clément Miserez, de mes co-scénaristes Fabien Suarez et Juliette Sales, et des gens de la Gaumont. Or, lorsqu’ils se sont interrogés sur un nom de metteur en scène, il se trouve que j’étais leur premier choix. C’est tombé au bon moment pour moi car je venais justement de reporter le projet sur lequel je travaillais pour des raisons de financement !
Quel souvenir gardez-vous du feuilleton télévisé ?
Quand j’étais petit, j’étais complètement accro à cette série ! Il faut dire que j’étais déjà passionné par les animaux, la nature et la montagne et que j’en ai gardé un souvenir profondément ancré en moi. Ce n’est pas anodin puisqu’à l’âge adulte je me suis entièrement consacré aux chiens et à la nature. Du coup, quand on m’a proposé ce projet, j’étais presque intimidé par rapport au souvenir
que j’en avais gardé : pour moi, il ne s’agissait pas d’une banale série télé mais d’une longue suite d’épisodes plus extraordinaires les uns que les autres. C’était donc un véritable défi à relever, ce qui n’était pas pour me déplaire, même si c’était un peu angoissant. J’étais tellement marqué par les sensations fortes que BELLE ET SÉBASTIEN avait éveillées en moi que je me sentais un vrai devoir de réussite. Dès lors, il fallait réaliser un film pour le cinéma, forcément différent de la série télé, tout en restant fidèle aux fondamentaux de l’histoire, c’est-à-dire à ses personnages et à son univers.
Dans quelle direction avez-vous cherché à orienter la transposition ?
Dès le premier rendez-vous avec Gaumont, j’ai expliqué que j’étais prêt à tourner le film sous certaines conditions. D’abord, il fallait trouver un enfant exceptionnel tant par la force du regard que par la personnalité. Ensuite, je tenais à tourner sur trois saisons. Enfin, je souhaitais transposer le film à l’époque de la Seconde Guerre Mondiale. C’était un parti-pris esthétique car je ne voulais pas montrer la montagne telle qu’elle est devenue aujourd’hui : je souhaitais retrouver un paysage montagnard de chalets et de villages en lauze, dont l’harmonie de couleurs et de matières fait écho au cuir, au chanvre et au bois des vêtements et des objets de l’époque. C’est donc cette volonté esthétique qui a servi la dramaturgie et qui m’a permis de renouer avec une dimension essentielle de la série : l’aventure, le voyage et la notion de passage. La guerre et la fuite des Juifs vers la Suisse s’inscrivaient parfaitement dans cette continuité.
Avez-vous souhaité rester fidèle aux personnages de la série ?
J’ai revu la série une seule fois, chez moi, muni d’un petit carnet et d’un crayon, et dès qu’un élément m’apparaissait important, qu’il s’agisse d’un personnage ou d’un lieu, je le notais. Cela m’a permis de garder en mémoire ce qui me semblait nécessaire de retrouver dans l’adaptation. J’ai préféré ne voir les épisodes qu’une seule fois pour pouvoir ensuite m’en affranchir et prendre de la distance par rapport à l’histoire originale. Puis, j’ai repris point par point la trentaine d’éléments qui devaient absolument figurer dans le film.

Belle et Sébastien (Félix Bossuet)
Belle et Sébastien est aussi un récit d’apprentissage.
Oui, car au-delà du sujet qui me plaisait beaucoup, ce qui m’intéressait, c’était de construire une véritable fiction, d’autant que ce n’était pas le cas de mes deux précédents films qui se rapprochaient davantage du documentaire. De même que je suis passé du récit de voyage au roman, j’ai profondément envie aujourd’hui de raconter des histoires fictionnelles avec des personnages qui suivent des trajectoires et qui évoluent. Je souhaite aussi parler de mon pays, la France, car c’est une terre que j’adore, même si j’ai passé beaucoup d’années à l’étranger. C’est pour toutes ces raisons que je me suis autant investi dans ce projet en attachant beaucoup d’importance à l’écriture et à la mise en scène afin qu’on ne soit jamais dans la caricature.

Sébastien (Félix Bossuet)
Les producteurs n’ont pas hésité à vous laisser tourner sur trois saisons ?
Pas du tout, et il faut bien avouer que c’était courageux de leur part. Non seulement en raison de la présence d’un enfant et d’un chien, mais aussi des difficultés logistiques. C’était donc un pari coûteux et risqué. Mais je n’aurais pas pu montrer la montagne uniquement en été ou en hiver : j’éprouvais un réel besoin de dévoiler ses différentes couleurs au fil des saisons. Tout comme Sébastien, la montagne constitue un personnage à part entière.
Quels étaient les plus grands défis sur le tournage ?
Rien ne me paraissait insurmontable, ni le tournage en montagne, ni la présence du chien. Le plus difficile, c’était de diriger un enfant car une grande partie du film reposait sur sa capacité à vivre cette aventure de bout en bout. Même si, dès le départ, j’étais confiant, je suis resté prudent parce que je suis conscient qu’à 7 ans et demi, tout peut arriver … La vraie grande surprise a été la faculté de Félix à comprendre ce que j’attendais, à ne jamais sur-jouer, à émettre des propositions de jeu pertinentes et à être constamment dans la finesse.
C’est ce qui a donné une énergie formidable à tout le monde sur le plateau. Car au-delà des qualités d’écriture et de mise en scène du film, c’est vraiment Félix qui porte le projet.

Nicolas Vanier et Félix Bossuet
Comment avez-vous trouvé le petit Félix ?
Nous avons reçu près de 2400 candidatures pour le rôle de Sébastien. La directrice de casting n’avait jamais vu un tel engouement : alors qu’en général les gens veulent lire le scénario, la célébrité de la série et mon nom attaché au projet ont suffi à rassurer et à susciter l’enthousiasme de nombreux parents qui ont envoyé les photos de leurs enfants. 200 d’entre eux ont été présélectionnés, puis à partir de visionnages et d’essais, j’en ai retenu une douzaine que j’ai emmenés dans le Vercors, où j’ai des chiens de traineau. Pendant ces quelques jours, j’ai vécu avec ces enfants, je les ai observés
et j’ai appris à les connaître. Et même s’il ne restait plus que trois candidats possibles, j’ai très vite su qui je voulais et j’ai imposé Félix, envers et contre tout, bien que d’autres aient pu sembler plus mignons au premier abord. Peu m’importait qu’ils aient déjà une expérience de tournage ou pas.
J’ai aimé la personnalité de Félix, qui est un enfant intelligent et courageux, mais qui peut rapidement se fermer comme une huître si on ne prend pas le temps de se faire accepter par lui. Il a quelque chose de déconcertant et d’étrange mais dans lequel je décelais une finesse qui n’appartient qu’à lui.

Tchéky Karyo, Félix Bossuet et Nicolas Vanier
Autour de Félix, les autres comédiens sont épatants…
Tchéky Karyo s’est imposé d’emblée dans le rôle de César. Alors qu’il tient souvent des rôles antipathiques, j’avais envie qu’il évolue progressivement vers la lumière, même si on n’a pas une sympathie immédiate pour lui. C’était donc un changement intéressant par rapport à son image auprès du grand public. Très vite, je lui ai expliqué qu’il ne fallait pas qu’il y ait la moindre ambiguïté sur ses rapports avec les autres personnages : Angélina n’est pas sa maîtresse et Sébastien est son «petit-fils» d’adoption. Même si je n’ai pas beaucoup d’expérience en matière de direction d’acteur, je crois que mon besoin de précision l’a rassuré.
Quant à Margaux Chatelier, tout comme Félix, je l’ai imposée par rapport à des actrices plus connues, car elle incarnait exactement le personnage que je souhaitais. Dès que je l’ai vue pendant les essais, elle a été une évidence !
On a eu énormément de chance pour le rôle du lieutenant Peter. En effet, après pas mal de recherches infructueuses, j’ai dû prendre une décision de dernière minute, en visionnant une vidéo d’Andreas Pietschmann sur mon portable : je l’ai trouvé formidable et quand je l’ai rencontré, mon impression s’est largement confirmée.

Mehdi et Félix Bossuet
On retrouve Mehdi, emblématique de la série, dans le rôle d’André…
Au début du projet, j’ai considéré qu’il s’agissait d’une contrainte qui s’imposait d’elle-même : il me paraissait impossible de monter ce film, sachant qu’il était acteur, sans lui proposer un rôle. Très vite, j’ai envisagé de lui confier celui d’André, le chasseur auprès duquel Sébastien tente d’obtenir des informations sur la «bête». Lors de notre première rencontre, nous étions un peu sur nos gardes tous les deux et je me suis même demandé, au départ, si je n’aurais pas préféré qu’il refuse ma proposition car j’avais le sentiment qu’il était un peu «l’oeil de Moscou» sur le film… On ne s’est pas revu dans les semaines qui ont précédé le tournage mais lorsqu’on a commencé à travailler ensemble, il m’a beaucoup ému. Il avait de grandes bouffées de nostalgie en replongeant dans cet univers et un jour il m’a fait le plus beau des compliments en me disant «maman serait fière». La sincérité avec laquelle il s’est exprimé m’a permis de sentir toute sa sensibilité et on est tombé dans les bras l’un de l’autre : dès cet instant, on est devenus amis. Autant dire que sa présence a été un vrai moteur et m’a donné une énergie nouvelle. C’est aussi à ce moment que j’ai perçu son appréhension : il tenait à ce que le film reste fidèle à l’image qu’il avait gardée de cette histoire imaginée par sa mère.
Avez-vous eu du mal à trouver les «interprètes» de Belle ?
À partir d’un certain nombre de critères de poids et de taille, une centaine de chiens ont été repérés. Ils ont été longuement observés par Andrew Simpson, qui a dressé les animaux pour Le dernier trappeur et Loup et en qui j’ai toute confiance. Il en a retenu 7 ou 8, qu’il a fait travailler, puis il en a gardé trois au final : Garfield, la chienne vedette, et deux autres qui ont servi de doublures. Elles avaient chacune des caractères spécifiques pour jouer dans des scènes plus ou moins dynamiques ou calmes. En revanche, quand on voit un gros plan du chien, c’est toujours Garfield.
On retrouve la mélodie de la série dans la bande-originale du film.
Cela me paraissait fondamental. Armand en était, lui aussi, convaincu, même si c’était plus difficile de travailler à partir de cette contrainte : cela aurait pu constituer un carcan dont il aurait pu ne pas se libérer mais il a formidablement relevé le défi.
Liens
Site officiel : belleetsebastien-lefilm.com | Page Facebook
Du 8 au 17 décembre 2013 gagnez 2 places de cinéma pour le film Belle et Sébastien sur FanKulture !
Disques
Laly « Derniers baisers » 1er single (JLA Disc / Wagram)
Laly dévoile le 26/09 un premier single « Derniers baisers »…

Laly dévoile aujourd’hui un premier single Derniers baisers annonçant un premier album disponible début 2026 (JLA Disc / Wagram).
Vous la connaissez comme un visage incontournable et populaire de la télévision française depuis quelques années en tant que comédienne dans de nombreuses séries (de Hélène et les garçons aux Mystères de l’Amour) : Laly nous dévoile aujourd’hui une nouvelle facette de son talent, la chanson.
C’est lors du tournage d’un clip il y a une quinzaine d’années que Laly fait la connaissance de Neal Black, un bluesman américain. C’est le début d’une amitié, et de l’envie de composer et de chanter. La rencontre avec d’autres musiciens comme Eric Cervera ou Laurent Lotz renforce cette envie. Avec eux, elle crée, enregistre des reprises, nourrit peu à peu son projet musical.
À la même époque, elle entre dans un groupe local, Byg Pep, avec qui elle fait des concerts de reprises rock pendant plusieurs années. Elle apprend peu à peu ce nouveau métier de chanteuse.
Elle découvre le logiciel de création de musique « Garage band » et se met à composer des morceaux, elle fait des dizaines de maquettes de chansons. Un projet d’album commence à se structurer et à se concrétiser en 2023.
Le producteur Jean-Luc Azoulay (figure paternelle, et producteur historique des nombreuses séries dans lesquelles Laly a joué la comédie) se dit prêt à la suivre dans cette nouvelle aventure.
Elle fait par son biais la connaissance du musicien et compositeur John Makabi (qui a travaillé entre autres avec Aya Nakamura ou encore Théodora). Elle compose plusieurs titres avec ce dernier.
Laly nous dévoile ce 26 septembre 2025 un premier single à l’ambiance teintée de souvenirs de vacances : Derniers baisers.
Auteure, compositrice et interprète, Laly vous propose de découvrir son univers musical à la fois pop, folk, électro, rock et empreint de ses influences brésiliennes, avec cette reprise en français de Sealed with a kiss, un titre créé par le groupe The Four Voices en 1960 aux Etats-Unis puis par Les Chats Sauvages en 1962 en France.
Ce premier single annonce le premier album de Laly à venir prochainement. Un album principalement composé de titres originaux, en partie écrits paroles et musiques par Laly, dans lesquels elle évoque la féminité, la liberté, le couple ou la question de l’identité…
Disques
RORI : « Miroir » (Parlophone)

La révélation francophone de cette année 2025, la belge Rori, propose « Miroir », un deuxième EP explosif qui sort aujourd’hui, le 19 septembre sous le label Parlophone (Warner Music).
Originaire de la province de Liège en Belgique, Camille Gemoets, dite RORI, presque 30 ans, propose une pop contemporaine énergique inspirée par la culture musicale anglo-saxonne et la scène rock.
Elle commence sa carrière à l’âge de 19 ans au sein du duo électro-pop « Beffroi ». Son comparse, Valentin, décède tragiquement en 2017. À la suite de cet événement dramatique, elle crée en 2018 son propre projet en s’associant avec le producteur Hadrien Lavogez, et élabore avec lui une nouvelle direction artistique. Son nom de scène Rori fait référence à l’une de ses séries préférées d’adolescence, « Gilmore Girls » (dans laquelle une protagoniste se prénomme Rory).
La chanteuse commence alors à creuser son sillon au fil des ans, proposant différents titres, faisant différentes collaborations,… jusqu’à ce nouvel EP qui sort en cette rentrée 2025.
« Nirvana, Garbage, Radiohead, Blur, Sonic Youth, Arctic Monkeys, bref tous les groupes anglo-saxons des années 1990 sont des références palpables, cependant « Miroir » n’est pas un revival », précise Rori, « l’important est de faire ressentir quelque chose de cool et de fort. »

Au menu de cet EP de 6 titres, sorti le 19 septembre, Rori interroge « Dis-moi qui est la plus belle ? », bien décidée à faire exploser l’ennemi dans la glace. Au fil de ses couplets désenchantés, Rori part en guerre contre l’individualisme forcené de la Génération Z. « C’est un peu une satire du moment. Ma génération est prête à tout pour exister, à être aimée ou détestée, peu importe », dit Rori. Elle met en avant des textes traversés d’émotions contradictoires – amour/haine, fascination/rejet – agissant comme un miroir grossissant les mirages des réseaux sociaux, ces miroirs sans âme, sans tain et parfois sans coeur, décrits dans des chansons aux titres éloquents : « Jalousie », « Vérité », « Loser »…
« Une Saison en enfer », le premier EP de la chanteuse sorti en 2023 était le journal de sa dépression, de ses anxiétés. Depuis, la chanteuse a imposé son style avec quelques hits : « Docteur » a cumulé 3 millions de streams, « C’est la vie » est devenu le générique de la série belge événement « Trentenaires », son featuring avec le groupe Superbus sur le titre « Butterfly » a cartonné tout l’été… Sans oublier des collaborations aussi variées qu’un duo avec Lorie sur son album de reprises « Hyper » ou qu’un concert donné en première partie du show événement de Lana Del Rey au Festival « Rock en Seine » en août 2024.
Avec « Miroir », Rori nous présente un EP ultra prometteur qui donne envie d’écouter très vite la suite… Qui sait, peut-être un album pour 2026 et les 30 ans de la chanteuse ? On l’écoutera en tous cas avec la plus grande attention.
riquelme
5 janvier 2014 at 21h16
Merci pour les places de cinéma, j’ai enmené mes deux filles de 12 ans avec moi; j’avais vu les épisodes de Belle et Sébastien petite et là j’ai découvert un magnifique film d’espoir, de liberté (comme on aimerait voir nos enfants si libres dans cette nature sauvage!) de fraternité et de valeurs. Mes enfants ont aprécié l’histoire forte et émouvante dans cette période historique de guerre mais également tout comme moi ces si beaux paysages de montagnes si magnifiquement filmés, une impression de nature à 100% devant nos yeux, parfois à nous couper le souffle pour Sébastien. Bref une belle histoire bien racontée, filmée avec de très bons acteurs et bien sûr « un attachant » Belle.
MARTINE
3 janvier 2014 at 15h53
Bonjour
J ai bien recu les deux places que j ai gagné
Merci a vous
Damien
3 janvier 2014 at 14h59
J’ai gagné, super film merci beaucoup
cookie84
17 décembre 2013 at 21h53
merci pour ce concours
CHARLENE08
17 décembre 2013 at 19h50
Bonne continuation à votre équipe !!!
genot
17 décembre 2013 at 19h18
un film dont on rêve
nectoux
17 décembre 2013 at 13h50
Bonjour, merci pour ce concours, je joue et j’espère. Bonne journée à tous
roussel
16 décembre 2013 at 18h26
PLEINS DE SOUVENIRS UN PLAISIR MERCI
myturbo
16 décembre 2013 at 15h34
Tenté avec grand plaisir, merci…
delph50
16 décembre 2013 at 10h49
que de beaux souvenirs!!!!!!!!
jean-francois
14 décembre 2013 at 18h18
Bonjour.
J’ai joué, merci.
BORGETTO
13 décembre 2013 at 9h36
j’espère gagner…
BOUSSION
11 décembre 2013 at 13h34
Ce film me ramène plusieurs décennies en arrière… vers une version noire et blanc qui déjà me ravissait.
Je suis sûr que toute la poésie de cette époque se retrouvera dans ce film de Nicolas Vannier, dont j’ai déjà bien apprécié la qualité de conteur dans « Loups », « Le dernier trappeur », etc.
Jacqueline Beal
11 décembre 2013 at 6h50
Bonjour et merci pour ce jeu et ce film propres à ravir petits et grands! Je participe très volontiers.
VILLEDIEU
10 décembre 2013 at 16h52
Belle et Sébastien ont bercé mon enfance
Que de souvenirs !
Biz à tous
Oheme22150
10 décembre 2013 at 15h44
Merci pour le concours, je viens de tenter ma chance 🙂