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Cinéma

La Schtroumpf Expérience arrive à Paris dès le 30 mai 2019 !!

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La Schtroumpf Expérience arrive à Paris !

Qui n’a jamais entendu parler des Schtroumpfs, ces petits personnages bleus nés de l’imagination débordante de Peyo? En 2018, à l’occasion de leurs 60 printemps, les lutins bleus et la Schtroumpf Expérience ont entamé un périple de 10 ans à la rencontre de leurs fans dans le monde. Après Bruxelles et ses 250 000 visiteurs, le célèbre village des Schtroumpfs prend ses quartiers à la Paris Expo du 30 Mai au 20 Octobre 2019.

Une aventure immersive dans la peau d’un Schtroumpf

« Haut comme trois pommes » c’est la taille que prendra le visiteur au cours de l’expérience. Dans des décors plus grands que nature reconstituant l’univers magique des lutins bleus, en famille ou entre amis, la Schtroumpf Expérience est une aventure dont chacun est le héros.
Grand Schtroumpf, Schtroumpfette, Schtroumpf à Lunettes ou encore Schtroumpf Costaud attendent les visiteurs pour leur confier une mission capitale: Sauver leur monde de Gargamel et de sa machine maléfique. Sur un parcours de 1500m2, les aventuriers, petits et grands, devront alors traverser la forêt enchantée, parvenir jusqu’au manoir du sorcier et déjouer ses plans.

Une prouesse technologique

La Schtroumpf Expérience fait interagir le visiteur avec les Schtroumpfs. Traversée d’une cascade ou encore vol à dos de cigogne, tout le parcours est truffé d’inventivité, d’effets spectaculaires, de technologies de pointe et d’innovations comme la réalité augmentée, la réalité virtuelle, le vidéo mapping ou des hologrammes…

Une expérience engagée et pédagogique

La Schtroumpf Expérience s’appuie sur les valeurs universelles incarnées par les Schtroumpfs (joie, solidarité, égalité…), mais aussi sur les 17 Objectifs de Développement Durable promus par l’Organisation des Nations Unies dont ils sont les Ambassadeurs. Ces 17 objectifs sont symbolisés par 17 objets à retrouver sur le parcours. Un dossier pédagogique axé sur le développement durable accompagne les enseignants souhaitant associer une sortie de loisir à un réel apport pédagogique.

Pass 1 jour utilisable du 30 Mai au 20 Octobre – Enfant (3 -11) : 12€ – Adulte (+12) : 18€
Famille (4 personnes) : 54€ – Paris Expo – 1 Place de la Porte de Versailles 75015 Paris, France

Plus d’informations : www.smurfexperience.com

Retrouvez la Schtroumpf Expérience sur Facebook en cliquant ici et sur Instagram.

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Cinéma

Soutenez la réalisation d’un documentaire sur les séries de notre enfance !

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Soutenez la réalisation d'un documentaire sur les séries de notre enfance !

Les auteurs du livre Les séries de notre enfance, deux passionnés des dessins animés, se sont donnés pour objectif, de réaliser le premier et unique documentaire sur les studios qui ont bercé l’enfance de millions  d’enfants. Embarquez avec nous dans notre machine à explorer le temps pour vous faire redécouvrir vos séries préférées en compagnie des héros du Studio DIC

Soutenez la réalisation d'un documentaire sur les séries de notre enfance !

 

Un documentaire unique et international 

Cela fait plusieurs mois que les tournages sont lancés ! A la manière d’une série télévisée, avec ses codes et ses intrigues, le spectateur est invité à revivre l’épopée de ces jeunes rêveurs, dans un ​documentaire de 90  minutes​. Pour ce faire, une ​campagne de crowdfunding​ sur Ulule s’est ouverte, afin de relever ce nouveau défi avec la participation des internautes. 


Les étapes du projet sont simples : la partie ​Japonaise​ a déjà été tournée et dans quelques semaines, ils partent à la rencontre des artistes français. Mais grâce aux internautes, ils espèrent s’envoler ensuite vers les ​États-Unis et le Canada ​pour rencontrer les artistes qui ont travaillé pour les studios, dont le grand Haim Saban.

 

Qui se cachent derrière cette oeuvre ? 

Les auteurs, ​Maroin Eluasti et Nordine Zemrak​, ont été bercés par ces programmes depuis leur plus jeune âge. Ils trouvaient curieux que dans les génériques d’une série française cohabitent les noms des artistes français, japonais et américains. Plus grands, ils ont découvert qu’Ulysse 31, puis Les Mystérieuses Cités d’or et l’Inspecteur Gadget étaient des coproductions entre ces trois pays. Depuis, leur insatiable passion pour ces séries, les a poussé à faire des recherches pour trouver les artistes qui ont peuplé leur imaginaire. Ils voulaient en savoir plus : ​qu’ils leur dévoilent les secrets d’une telle collaboration ! 


Maroin Eluasti y a consacré son métier à l’univers de l’animation puisqu’il travaille dans l’industrie du dessin  animé. Nordine Zemrak, quant à lui, est enseignant dans un lycée. Après avoir écrit un livre sur le sujet : Les  séries de notre enfance (que nous vous présentions en 2013) Maroin Eluasti et Nordine Zemrak, ont décidé de produire un ​documentaire unique au monde, sur les Studios DIC​

 

Nous avons choisi de soutenir ce beau projet. Vous aussi ?
Il vous reste 12 jours pour les soutenir ! Rendez-vous ici !

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Chroniques

Belle et Sébastien, Nicolas Vanier – Gaumont

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Belle et Sébastien, Nicolas Vanier - Gaumont

On se souvient de Belle et Sébastien, la série des années diffusée en 1965, ou encore du dessin animé début des années 80, tout deux adaptés du roman de Cécile Aubry. Pour la première fois les petits comme les grands pourrons découvrir le 18 décembre prochain au cinéma le film Belle et Sébastien de Nicolas Vanier.

Tourné sur trois saisons (l’été, l’automne et l’hiver) ce film est un vrai moment d’évasion grâce aux magnifiques images et des paysages donnant une impression d’infini. Quelques différences sont notables avec la version originale. Par exemple l’histoire originale se passe dans les Pyrénées (entre la France et l’Espagne) et non en Haute Maurienne Vanoise près de la frontière avec la Suisse. Cette histoire se déroule pendant la seconde Guerre Mondiale. Mais l’esprit et l’histoire sont bien là. On découvre un nouveau Sébastien joué par Félix Bossuet, tout aussi proche de sa chienne Belle que ne l’était Mehdi qui jouait alors ce rôle dès 1965. Aujourd’hui il campe le rôle d’André un bûcheron qui aidera Sébastien. A leurs côtés : Tcheky Karyo (César), Margaux Chatelier (Angelina), Dimitri Storoge (Docteur Guillaume), Andréas Pietschmann (Lieutenan Peter), Urbain Cancelier (Le Maire). Une histoire qui plaira aussi bien aux enfants, touchés par Sébastien qui vivront son aventure en voulant être à sa place, qu’aux adultes qui se replongeront dans leur souvenir.

Nous étions présents lors de l‘avant première parisienne du film au Grand Rex en présence de l’équipe du film (voir les photos). Les réactions du public lors de cette projection étaient sans équivoques, que ce soit pendant la diffusion ou après, ils étaient conquis, par les paysages de montages, de neiges, mais surtout par l’histoire et bien entendu par Belle et Sébastien.

Côté actualité, Nicolas Vanier portera à l’écran l’adaptation de son roman L’or sous la neige, retraçant l’aventure d’un jeune Américain, à la fin du XIXème siècle, qui se lance dans la ruée vers l’or du Klondike.

FanKulture

Belle et Sébastien, Nicolas Vanier - GaumontSynopsis du film

Ça se passe là-haut, dans les Alpes.
Ça se passe là où la neige est immaculée, là où les chamois coursent les marmottes, là où les sommets tutoient les nuages.
Ça se passe dans un village paisible jusqu’à l’arrivée des Allemands.
C’est la rencontre d’un enfant solitaire et d’un chien sauvage.
C’est l’histoire de Sébastien qui apprivoise Belle.
C’est l’aventure d’une amitié indéfectible.
C’est le récit extraordinaire d’un enfant débrouillard et attendrissant au coeur de la Seconde Guerre Mondiale.
C’est l’odyssée d’un petit garçon à la recherche de sa mère, d’un vieil homme à la recherche de son passé, d’un résistant à la recherche de l’amour, d’une jeune femme en quête d’aventures, d’un lieutenant allemand à la recherche du pardon.

C’est la vie de Belle et Sébastien

Rendez-vous au cinéma dès le 18 décembre 2013 !

Découvrez la bande annonce du film

Plus d’informations sur la réalisation du film en lisant ci-dessous les propos de Nicolas Vanier.

Comment est né Belle et Sébastien ?
Contrairement à tous les projets que j’ai menés jusqu’ici, ce n’est pas moi qui suis à l’origine de Belle et Sébastien. Au départ, l’idée vient du producteur Clément Miserez, de mes co-scénaristes Fabien Suarez et Juliette Sales, et des gens de la Gaumont. Or, lorsqu’ils se sont interrogés sur un nom de metteur en scène, il se trouve que j’étais leur premier choix. C’est tombé au bon moment pour moi car je venais justement de reporter le projet sur lequel je travaillais pour des raisons de financement !

Belle et Sébastien - Cécicle Aubry

Mehdi dans la série Belle et Sébastien

Quel souvenir gardez-vous du feuilleton télévisé ?
Quand j’étais petit, j’étais complètement accro à cette série ! Il faut dire que j’étais déjà passionné par les animaux, la nature et la montagne et que j’en ai gardé un souvenir profondément ancré en moi. Ce n’est pas anodin puisqu’à l’âge adulte je me suis entièrement consacré aux chiens et à la nature. Du coup, quand on m’a proposé ce projet, j’étais presque intimidé par rapport au souvenir
que j’en avais gardé : pour moi, il ne s’agissait pas d’une banale série télé mais d’une longue suite d’épisodes plus extraordinaires les uns que les autres. C’était donc un véritable défi à relever, ce qui n’était pas pour me déplaire, même si c’était un peu angoissant. J’étais tellement marqué par les sensations fortes que BELLE ET SÉBASTIEN avait éveillées en moi que je me sentais un vrai devoir de réussite. Dès lors, il fallait réaliser un film pour le cinéma, forcément différent de la série télé, tout en restant fidèle aux fondamentaux de l’histoire, c’est-à-dire à ses personnages et à son univers.

Dans quelle direction avez-vous cherché à orienter la transposition ?
Dès le premier rendez-vous avec Gaumont, j’ai expliqué que j’étais prêt à tourner le film sous certaines conditions. D’abord, il fallait trouver un enfant exceptionnel tant par la force du regard que par la personnalité. Ensuite, je tenais à tourner sur trois saisons. Enfin, je souhaitais transposer le film à l’époque de la Seconde Guerre Mondiale. C’était un parti-pris esthétique car je ne voulais pas montrer la montagne telle qu’elle est devenue aujourd’hui : je souhaitais retrouver un paysage montagnard de chalets et de villages en lauze, dont l’harmonie de couleurs et de matières fait écho au cuir, au chanvre et au bois des vêtements et des objets de l’époque. C’est donc cette volonté esthétique qui a servi la dramaturgie et qui m’a permis de renouer avec une dimension essentielle de la série : l’aventure, le voyage et la notion de passage. La guerre et la fuite des Juifs vers la Suisse s’inscrivaient parfaitement dans cette continuité.

Avez-vous souhaité rester fidèle aux personnages de la série ?
J’ai revu la série une seule fois, chez moi, muni d’un petit carnet et d’un crayon, et dès qu’un élément m’apparaissait important, qu’il s’agisse d’un personnage ou d’un lieu, je le notais. Cela m’a permis de garder en mémoire ce qui me semblait nécessaire de retrouver dans l’adaptation. J’ai préféré ne voir les épisodes qu’une seule fois pour pouvoir ensuite m’en affranchir et prendre de la distance par rapport à l’histoire originale. Puis, j’ai repris point par point la trentaine d’éléments qui devaient absolument figurer dans le film.

 

Belle et Sébastien (Félix Bossuet), Nicolas Vanier - Gaumont

Belle et Sébastien (Félix Bossuet)

Belle et Sébastien est aussi un récit d’apprentissage.
Oui, car au-delà du sujet qui me plaisait beaucoup, ce qui m’intéressait, c’était de construire une véritable fiction, d’autant que ce n’était pas le cas de mes deux précédents films qui se rapprochaient davantage du documentaire. De même que je suis passé du récit de voyage au roman, j’ai profondément envie aujourd’hui de raconter des histoires fictionnelles avec des personnages qui suivent des trajectoires et qui évoluent. Je souhaite aussi parler de mon pays, la France, car c’est une terre que j’adore, même si j’ai passé beaucoup d’années à l’étranger. C’est pour toutes ces raisons que je me suis autant investi dans ce projet en attachant beaucoup d’importance à l’écriture et à la mise en scène afin qu’on ne soit jamais dans la caricature.

Belle et Sébastien, Nicolas Vanier - Gaumont

Sébastien (Félix Bossuet)

Les producteurs n’ont pas hésité à vous laisser tourner sur trois saisons ?
Pas du tout, et il faut bien avouer que c’était courageux de leur part. Non seulement en raison de la présence d’un enfant et d’un chien, mais aussi des difficultés logistiques. C’était donc un pari coûteux et risqué. Mais je n’aurais pas pu montrer la montagne uniquement en été ou en hiver : j’éprouvais un réel besoin de dévoiler ses différentes couleurs au fil des saisons. Tout comme Sébastien, la montagne constitue un personnage à part entière.

Quels étaient les plus grands défis sur le tournage ?
Rien ne me paraissait insurmontable, ni le tournage en montagne, ni la présence du chien. Le plus difficile, c’était de diriger un enfant car une grande partie du film reposait sur sa capacité à vivre cette aventure de bout en bout. Même si, dès le départ, j’étais confiant, je suis resté prudent parce que je suis conscient qu’à 7 ans et demi, tout peut arriver … La vraie grande surprise a été la faculté de Félix à comprendre ce que j’attendais, à ne jamais sur-jouer, à émettre des propositions de jeu pertinentes et à être constamment dans la finesse.
C’est ce qui a donné une énergie formidable à tout le monde sur le plateau. Car au-delà des qualités d’écriture et de mise en scène du film, c’est vraiment Félix qui porte le projet.

Nicolas Vanier et Félix Bossuet - Belle et Sébastien, Nicolas Vanier - Gaumont

Nicolas Vanier et Félix Bossuet

Comment avez-vous trouvé le petit Félix ?
Nous avons reçu près de 2400 candidatures pour le rôle de Sébastien. La directrice de casting n’avait jamais vu un tel engouement : alors qu’en général les gens veulent lire le scénario, la célébrité de la série et mon nom attaché au projet ont suffi à rassurer et à susciter l’enthousiasme de nombreux parents qui ont envoyé les photos de leurs enfants. 200 d’entre eux ont été présélectionnés, puis à partir de visionnages et d’essais, j’en ai retenu une douzaine que j’ai emmenés dans le Vercors, où j’ai des chiens de traineau. Pendant ces quelques jours, j’ai vécu avec ces enfants, je les ai observés
et j’ai appris à les connaître. Et même s’il ne restait plus que trois candidats possibles, j’ai très vite su qui je voulais et j’ai imposé Félix, envers et contre tout, bien que d’autres aient pu sembler plus mignons au premier abord. Peu m’importait qu’ils aient déjà une expérience de tournage ou pas.
J’ai aimé la personnalité de Félix, qui est un enfant intelligent et courageux, mais qui peut rapidement se fermer comme une huître si on ne prend pas le temps de se faire accepter par lui. Il a quelque chose de déconcertant et d’étrange mais dans lequel je décelais une finesse qui n’appartient qu’à lui.

Tchéky Karyo, Félix Bossuet et Nicolas Vanier - Belle et Sébastien, Nicolas Vanier

Tchéky Karyo, Félix Bossuet et Nicolas Vanier

Autour de Félix, les autres comédiens sont épatants…
Tchéky Karyo s’est imposé d’emblée dans le rôle de César. Alors qu’il tient souvent des rôles antipathiques, j’avais envie qu’il évolue progressivement vers la lumière, même si on n’a pas une sympathie immédiate pour lui. C’était donc un changement intéressant par rapport à son image auprès du grand public. Très vite, je lui ai expliqué qu’il ne fallait pas qu’il y ait la moindre ambiguïté sur ses rapports avec les autres personnages : Angélina n’est pas sa maîtresse et Sébastien est son «petit-fils» d’adoption. Même si je n’ai pas beaucoup d’expérience en matière de direction d’acteur, je crois que mon besoin de précision l’a rassuré.
Quant à Margaux Chatelier, tout comme Félix, je l’ai imposée par rapport à des actrices plus connues, car elle incarnait exactement le personnage que je souhaitais. Dès que je l’ai vue pendant les essais, elle a été une évidence !
On a eu énormément de chance pour le rôle du lieutenant Peter. En effet, après pas mal de recherches infructueuses, j’ai dû prendre une décision de dernière minute, en visionnant une vidéo d’Andreas Pietschmann sur mon portable : je l’ai trouvé formidable et quand je l’ai rencontré, mon impression s’est largement confirmée.

Mehdi et Félix Bossuet - Belle et Sébastien, Nicolas Vanier - Gaumont

Mehdi et Félix Bossuet

On retrouve Mehdi, emblématique de la série, dans le rôle d’André…
Au début du projet, j’ai considéré qu’il s’agissait d’une contrainte qui s’imposait d’elle-même : il me paraissait impossible de monter ce film, sachant qu’il était acteur, sans lui proposer un rôle. Très vite, j’ai envisagé de lui confier celui d’André, le chasseur auprès duquel Sébastien tente d’obtenir des informations sur la «bête». Lors de notre première rencontre, nous étions un peu sur nos gardes tous les deux et je me suis même demandé, au départ, si je n’aurais pas préféré qu’il refuse ma proposition car j’avais le sentiment qu’il était un peu «l’oeil de Moscou» sur le film… On ne s’est pas revu dans les semaines qui ont précédé le tournage mais lorsqu’on a commencé à travailler ensemble, il m’a beaucoup ému. Il avait de grandes bouffées de nostalgie en replongeant dans cet univers et un jour il m’a fait le plus beau des compliments en me disant «maman serait fière». La sincérité avec laquelle il s’est exprimé m’a permis de sentir toute sa sensibilité et on est tombé dans les bras l’un de l’autre : dès cet instant, on est devenus amis. Autant dire que sa présence a été un vrai moteur et m’a donné une énergie nouvelle. C’est aussi à ce moment que j’ai perçu son appréhension : il tenait à ce que le film reste fidèle à l’image qu’il avait gardée de cette histoire imaginée par sa mère.

Avez-vous eu du mal à trouver les «interprètes» de Belle ?
À partir d’un certain nombre de critères de poids et de taille, une centaine de chiens ont été repérés. Ils ont été longuement observés par Andrew Simpson, qui a dressé les animaux pour Le dernier trappeur et Loup et en qui j’ai toute confiance. Il en a retenu 7 ou 8, qu’il a fait travailler, puis il en a gardé trois au final : Garfield, la chienne vedette, et deux autres qui ont servi de doublures. Elles avaient chacune des caractères spécifiques pour jouer dans des scènes plus ou moins dynamiques ou calmes. En revanche, quand on voit un gros plan du chien, c’est toujours Garfield.

On retrouve la mélodie de la série dans la bande-originale du film.
Cela me paraissait fondamental. Armand en était, lui aussi, convaincu, même si c’était plus difficile de travailler à partir de cette contrainte : cela aurait pu constituer un carcan dont il aurait pu ne pas se libérer mais il a formidablement relevé le défi.

Liens
Site officiel : belleetsebastien-lefilm.com | Page Facebook

 

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